Le salon des amis

Morganne s'apprête a répondre au Duc assit a coté d'elle quand le blondinet fait son entrée, impossible pour elle de ne pas le suivre du regard un sourire amusé sur les lèvres. Et que je fais mon tralala, digne d'une personne bien élevée, pourquoi n'est il pas ainsi a la maison? Dorénavant elle filera avant qu'il ne se lève rien que pour avoir le plaisir d'un baise main quand elle le rencontrera, na! Il se présente a Adélaïde bien elle n'aura plus a le faire Morganne. Donc elle en était où la brune, ah oui répondre au Duc. Avant cela répondre a la Comtesse sise à ses cotés.

Ne vous inquiétez pas, l'appartement est bien grand.

Lui indique Joshua de la main.

Et voici celui qui y est installé aussi, apparemment il se sent mieux chez moi que chez lui, mais c'est une longue histoire, j'aurai le temps de vous la raconter, a moins qu'il ne s'en charge lui même.
Il vous suffit de l'éviter le matin, sinon il est d'agréable compagnie.

Se tournant vers le blondinet en lui souriant.

La Comtesse de Tallard, va loger quelques jours à la maison le temps qu'elle trouve une demeure pour s'installer.

Puis plus bas

Tache de pas mettre de désordre, je compte sur toi.

Maintenant elle se tourne vers le Duc de Chateauvilain et le regarde a travers ses longs cils.

La route a été longue vous dites, mais découvrir de nouveau paysage est plaisant, non? Personnellement c'est se que j'aime quand je voyage, découvrir d'autre lieu, d'autre paysage, d'autre plante, il est vrai que je ne voyage pas beaucoup sans doute est ce pour cela que j'aime tant de partir vers d'autre contrée.

Joshua regarde Henri qui lui répond. La dernière rencontre avait été amusante, quoi que déprimante. Au moins, il s'excuse. Joshua de répondre comme sa mère lui disait à chaque fois :

" On ne s'excuse pas, on présente ses excuses. Bien que de toute façon, seul les actes comptent. Cet acte, bien que maladroit est un bon début. Nous verrons ce qu'il en sera de la suite. "

Il adresse un sourire qui a vocation d'adoucir la remarque sèche au possible. Après, il la prend comme il veut. Toute remarque étant constructive si on sait en tirer parti. Puis vient le tour de Romuald de poser une question. Comment il va. Ayant fait la leçon à Henri, il répond donc au second.

" Parfaitement bien, je vous remercie. "

Et non, pas de "Et vous même ? ". Se serait engager une conversation dont il ne voit pas spécialement l'intérêt. Tout ce qu'il veut, c'est un thé. Une infusion délicate, sur fond de miel et d'alcool fruité. Alors plus vite les salutations sont finies, plus vite il peut y aller. Vient la présentation de la Marquise. Bon, voilà qui est fait aussi. Il pensait que Morganne ferait l'introduction, mais au moins, c'est fait. Marquise, voilà une personne dont il faut se souvenir. Et c'est au tour de Morganne de parler. Et là...

Quoi ?! Koikoikoikoikoikoikoi QUOI ?! Une femme chez lui ? Enfin, chez eux ?! Heu non, chez elle ?!! Morganne aurait au moins pu lui demander son avis non ? C'est pas comme s'il vivait aussi dans l'appartement ! D'accord, il fait parti des meubles. Une inconnue qui s'installe chez Morganne. Mais si c'est une folle ?! Pas mettre de désordre ? Compte là dessus... Joshua il va marquer son territoire, ça ne va pas trainer. Commençons dessuite même. Toujours debout, alors que les autres sont assis, il regarde les femmes sans pencher la tête. Hautain à souhait le blondinet. Et d'une voix qui se veut d'une indifférence la plus totale, il laisse passer entre ses lèvres.

" Et bien, soyez la bienvenue... Restez autant que vous voudrez. Morganne, je vais faire un tour dans les bois, ne m'attendez pas ce soir si je ne suis pas rentré. "
Traduction :
* Et bien, soyez la bienvenue chez MOUAH. Restez autant que vous pourrez/tiendrez/supporterez (rayez les mentions inutiles). Morganne, je vais préparer un coup fu-mant, tu m'en diras des nouvelles. *

La discussion est engagée avec le Duc de Chateauvilain, attendant sa réponse elle écoute discrètement le dialogue entre Adélaïde et Joshua, enfin discussion, plutôt politesse d'usage ce qui est assez étonnant de la part du blondinet, que peut il bien préparer? Puis gentiment il là prévient qu'il rentrera tard ce soir, soulèvement d'un sourcil en lui répondant.

Bien Joshua ne fait pas trop de bruit quand tu rentres, il serait mal venu de réveiller notre invitée.

L'homme vêtu de rouge et blanc, le curé enfin le cardinal, celui qui ne l'a même pas saluée quand elle est entrée clame haut et fort en regardant le blond. Morganne pose sa main sur le bras d'Adélaïde et lui murmure

Voilà qui risque d'être amusant.

La brune croise ses bras sous sa poitrine, allonge ses jambes en se calant bien contre le dossier du fauteuil, une séance de théâtre va certainement commencer, elle ne voulait en rater une miette.

il regarda la Comtesse et l écouta avec attention et lui répondit

Voyager c'est bien pour changé d air pour respiré rencontré des gens et de nouvelles contrés moi aussi j aime particulierement voyager ca me relaxe mais le voyage nous apprends aussi il n y a pas que le côtés attractif il y a aussi le côté apprentissage qu en pensez vous?

L'homme habillé de rouge se frotte au hérisson. Joshua tourne la tête pour pouvoir regarder le curé du coin de l'oeil, et pas plus. Marque de toute l'attention, et de toute l'hostilité du moment. Une invitée imposée, et maintenant, un qui vient le titiller. Dommage, Joshua va passer ses nerfs dessus pour le coup. Et donc il sera moins créatif pour en faire baver à la nouvelle. Alors, comment entamer le dialogue avec l'homme en rouge et blanc ? Il se lance :

" Oh, Monsieur le Comte de Beauvais... "

Déjà, ça c'est fait. Joshua est un Marquis, et l'autre n'est qu'un simple Comte. Continuons à jouer.

" Je ne vous avez pas reconnu sous votre... calot. Bien, je vous remercie de votre accueil, je suppose que c'est ainsi que se saluent les hommes d'Église de nos jours. Je vous retourne donc le compliment et vous trouve tout autant insolent. "

Un large sourire se dessine sur les lèvres de Joshua. Dans un sens, c'est vrai qu'il n'avait pas reconnut le Pair. Et comme il ne reconnait pas les Pères non plus.

Morganne écoute Romuald puis tourne son visage vers lui, elle l'observe un moment en réfléchissant à ses paroles.

Vous avez entièrement raison monsieur, voyager permet de rencontrer d'autres personnes, d'autres cultures, d'autre façon de vivre. Ce qui nous permet d'apprendre de nous remettre en question aussi et nous fait réfléchir. On nous enseigne que notre façon de vivre est la meilleur, mais il y a de très belle et bonne chose a prendre ailleurs.
Vous qui semblez voyager beaucoup plus que moi, quel est le pays qui vous a le plus marqué?

Elle reporte un instant son attention sur Joshua, voilà l'acte II qui débute, et toc dans les gencives du curé, elle se retient de rire la brune en donnant un coup de coude a la Comtesse a ses cotés.

Pensez vous qu'il va répondre le Cardinal?

Un peu de mordant en face, voilà qui fait plaisir. Du coup, le Comte-Évêque a toute son attention. Ce qui se traduit par un face à face. Oui, Joshua, tout sourire, c'est tourné vers le petit chaperon rouge. La petite nouvelle lui sort de la tête. Ne penser qu'à l'essentiel. Un frissonnement lui prend les reins. A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Et que voilà une somptueuse forteresse à piller. Puisqu'il le prend pour un sot, il va lui montrer que non. Et en plus les insultes fusent. Quel manque d'imagination, franchement. "Animaux crasseux"... Est-ce vraiment une insulte ?

" Ce n'est pas parce qu'un homme s'est laissé tuer pour le pardon des pêcheurs et prêcheurs, qu'il faut continuer à pêcher par stupidité mon Pair... Il me semble qu'ici, vous soyez le seul à être grossier et insolent. Surtout que je ne m'abaisserais pas à répondre à vos pathétiques insultes. Mais dites-moi, si le Comte est insolent, et l'Évêque insultant, lequel des deux manque à tel point d'esprit et d'inspiration ? A vous la parole Monseigneur. Et innovez que diable ! "

Et voilà, il vient de tourner publiquement l'affrontement en jeu. Preuve d'une chose, le Pair n'est là que pour le divertir Rien de plus. Il se demande comment va réagir l'autre. Et surtout, s'il va montrer un peu plus d'esprit, Saint ou non.

il regarda la comtesse et lui dit droit dans les yeux

Le pays qui ma le plus marqué.... a vrais dire c'est la Pennthièvrie.... sa beautée sa grandeur elle a tout les atouts qu on puisse rêver d avoir en été vous pouvez profiter de l océan l hiver en revanche vous avez des paysage magnifique

passons a la culture elle particuliere certes mais on si fait a force et les gens sont si acceuillant et charmant

les spécialitées penthièvriques sont le Chouchen et les Crêpes

voila un avant gout de cette terre qui est de loing pour moi la plus marquante

Grosse déception. Il avait aboyé, mais on lui a arraché les dents. C'est bien dommage, il s'attendait à plus de répondant de la part de l'homme en rouge. Il se détourne de lui pour répondre. Oui, on peut dire que c'est du mépris. Déjà qu'il n'aime pas les hommes d'Église. Mais au moins, l'échange fut bref mais intense.

" Je ne me crois nullement supérieur à tous. Par contre, il semblerait, de toute évidence, que je vous sois supérieur sur certains points. Autre chose. Certes, votre place de Pair vous place au dessus de mon rang de Marquis. Mais sachez que c'est l'homme qui mérite le respect, pas le titre. "

Il regarde Morganne, et dans ses yeux, il attend l'arbitrage sévère, mais juste de la femme. La sentence sonnera le départ pour les bois. Du coup, il n'a même plus envie de thé. Pas grave, il en prendra un au retour. Fait par Morganne ! Maintenant qu'il fait dos à l'Évêque, son attitude est totalement différente. Faut croire qu'il y a des gens qu'il aime, et d'autres non.

Voila qu'il se retournait... Marque de provocation, certes.

Vous n’êtes aucunement supérieur à moi. Vous savez, moi, je n'ai pas eu mon titre par collusion. Je l'ai dûment mérité par mes actes. Tout au long de ma vie, j'ai servis la Sainte Église Catholique et le Royaume de France. Je le mérite le respect. Vous, qu'avez-vous fait durant votre vie à part que de sodomiser la Comtesse de Blenac?

*Oh oh*

Jusque là l'échange avait été amusant pour Adélaïde. Elle goûtait aux jeux de l'esprit et elle trouvait que les deux hommes n'en manquaient point. Mais là, le Cardinal allait trop loin.On ne mettait pas ainsi en doute la moralité d'une Dame.
En signe de solidarité, elle pose sa main sur celle de Morganne pour l'assurer de soutient. Reste à espérer que cela ne se termine pas trop mal quand même.

Huhu, la limite à ne pas dépasser. Toucher à ses jouets. Et alors si on met Joshua, Morganne et ses fesses dans la même phrase, rien de plus excitant pour Joshua. La guerre est déclarée, et quand on parle de guerre, le Marquis a toujours l'avantage sur le Comte. Il ne prend même pas la peine de se retourner pour lui parler. Cette fois, Joshua est d'un sérieux. Ce qui rare chez l'homme.

" Cette dernière phrase montre à quel point vous m'êtes inférieur. Vous êtes même inférieur à tout ce qui est doué d'intelligence. Très sincèrement, je suis peiné. Peiné qu'un homme de votre misérable envergure puisse prétendre, devant d'autres Pairs, mériter ces titres, quand vous nous offrez un spectacle si affligeant. Comprenez-moi bien cher Comte de Beauvais, car de second avertissement il n'y aura pas. Un affront de plus, et vous aurez droit à la démonstration de tous mes talents. Et j'en prends à témoins les personnes ici présente. Vous prierez, avec une ferveur que vous n'avez jamais connue, pour que la mort vienne vous cueillir. "

Une menace claire pour un affront outrageant. Cette fois c'est officiel, l'adversaire qui semblait une si belle Ilion, n'est en fait qu'un village de campagne. Adieu forteresse imprenable... Joshua n'hésitera pas à en venir aux s'il le faut. Sa ténacité, son esprit, seront mis au service de sa volonté de réduire à néant celui qui cherche sa ruine.

André Charles n'eut nullement le temps de répondre à son cousin qu'une conversation assez vive commence entre celui ci et le Marquis. Il n'osa pas s'interposer par respect et se tourna vers les demoiselles qui s'ennuyaient quelque peu et s'adressa à elles

c'est un émerveillement de voir une touche de délicatesse et de douceur dans ce monde où le rapport de force se cache derrière les bienscéances , Puis je me joindre parmis vous ??

puis remarqua aprés que les demoiselles eurent répondu que la conversation dérapé un peu il décida d'intervenir.

Allons, allons messieurs ce n'est point le lieu pour s'accrocher. Nous sommes à Versailles, ville Royale ce n'est point une attitude nobles de régler vos comptes devant de si charmante demoiselles qui s'impatientent de tenir une conversation à laquelle elles peuvent participer avec un grand intérêt. En ce qui vous concerne mon cher cousin, je vous apprécie mais permettez moi de souligner qu'en tant que Cardinal et Pair de France ce language est indigne de vôtre rang. Sachez mon cher cousin mesurer vos propos n'oubliez point que nous sommes en charmante compagnie

Si je peut me permettre monsieur le Marquis de Mautevrier n'avez pas vous honte de vous battre avec un Éminence un membre du clergé il est bien plus Inférieure que vous et moi donc vous n'avez en aucun droits de dire cela a son Éminence mes parents mon bien appris a ne pas dé-respecter un clerc il vous dit la vérité que vous être prétentieux et mal élevé vous n'avez pas a lui dire sa encore je vous demande vous vous prenez pour qui ? le roi lui même ne dirais jamais cela car il respecte le clergé car il faut que vous sachiez que vous n'être pas le Roi alors vous devez écoutez ce que son Éminence vous dit irrespectueux en classe sociale vous être plus important que moi mais je suis un homme comme vous et son Éminence aussi.

Ah ! Enfin quelqu'un doué d'intelligence. Allez l'Évêque, maintenant, c'est le cousin qui en remet une couche. Même si c'est une fine couche. Mais au moins, c'est dit. Vient ensuite Henri... Alors Henri, quand il parle c'est... Une catastrophe... Joshua a essayé de suivre ce qu'il disait et.... n'a rien compris. Mais alors rien de rien. Le seul truc de cohérent fut : "il est bien plus inférieur que vous et moi ". C'est amusant. Avant de reprendre la parole, il laisse au Pair qui se fait doublement taper sur les doigts le temps de répondre.

{ Boooooon, alors je ne suis pas admin, ni modo. Mais tout de même, un petit rappel pour Henri et Edouard :

Citation :

Deuxième point, veuillez donc soigner vos posts (n'oubliez pas la fonction "Editer").
Nous attachons une très grande importance à la qualité de la langue française, merci de la respecter!
Les administrateurs n'admettront aucune excuse, ni aucune dérogation à ce sujet!
Si vous vous inscrivez ici, vos posts doivent être lisibles et compréhensibles!

Les points et les virgules, c'est pas une option. Merci d'en user, et abuser.
Mais par contre Henri. Par pitié, essayes d'écrire un truc en français compréhensible....

Bon jeu =D}

A peine les mots murmurer à Adélaïde, que le Cardinal répond, il s'en suit naturellement un échange des plus intéressant entre l'homme vêtu de rouge et blanc et le blondinet, elle a bien fait de passer ce soir Morganne.
Morganne suit deux conversations sont visage tourné vers Romuald elle l'écoute parler avec ferveur du pays qu'il aime, son regard pétillant, le timbre de sa voix ne fait aucun doute, il est passionner par cette région.

Rien que de vous entendre monsieur, j'aurais envie de découvrir la région qui anime si bien vos paroles. Peut être aurais je un jour la chance de découvrir se pays. En souriant elle rajoute. Et satisfaire ma gourmandise, j'adore les crêpes.

Joshua se désintéresse du curé et se tourne vers nous, les prunelles brune de Morganne quitte le duc pour se posé sur lui, elle rencontre les yeux vert du blondinet, regard échangé, elle sourit. Pas le temps de parler la brune que l'autre rajoute une couche en parlant d'elle. Soulèvement de sourcil, la tête qui se penche sur le coté pour apercevoir Philippe, alors que la main d'Adélaïde se pose sur la sienne.

La pièce de théâtre n'est pas finie et elle observe les acteurs qui entre en scène. Le Marquis de Provence qui tente de calmer les messieurs. Le Vicomte de Polignac qui devrait tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de l'ouvrir sa bouche, impossible apparemment lui aussi doit avoir l'esprit d'un moineau. Il rajoute de l'huile ou il faudrait plutôt de l'eau.
La porte s'ouvre, fichtre une invasion de soutane de couleur, enfin celui là il se présente et semble courtois.

Acte (je sais plus j'ai plus compté), Morganne se tourne vers le duc.

Veillez m'excuser, nous reprendrons la discussion plus tard.

Se tourne vers Adélaïde et pose ses doigts sur l'éventail.

Vous permettez, je vous l'emprunte un instant.

Et Morganne entre en scène, ouverture de l'éventail qu'elle fait papillonner devant son visage, elle contourne le blondinet, elle s'approche du dernier arrivé qui a rejoint le curé mal poli, inclinaison de la tête.

Enchantée de vous rencontrer votre éminence, Morganne de Chanteraine, Comtesse de Blenac. Je vous demande a l'avance pardon mais il me doit d'interrompre votre conversation.

Là voilà face au Pair, Comte- évêque de Beauvais, claquement de l'éventail qui se referme et se pose sur la poitrine de l'homme en rouge alors que ses prunelles rencontre celle de l'homme.

Monsieur, Vous qui n'avez même pas répondu à mon bonjour quand je suis entrée, maintenant vous vous permettez de me salir devant les nobles ici présent. Les hommes d'église ont bien changé quoi que je n'en suis point étonné.
Je vais vous raconter une histoire qui hélas est bien vrai, je terminais ma dernière année d'étude, je travaillais a l'hôpital quand une pauvre fille a peine âgée de quatorze ans est arrivée en pleurs, elle avait un soucis entre les fesses. Nous avons donc du l'ausculter et se que nous avons découvert n'était vraiment pas beau a voir. Des heures ils nous a fallu pour découvrir se qu'il s'était passer, quand enfin la pauvre enfant nous a avouez qu'elle travaillait comme bonne chez le curé de sa paroisse et qu'il la remerciait pour le travail bien fait de cette manière. Moi qui venait de passer bon nombre d'année au couvent, je ai été outrée. Avez vous aussi monsieur une bonne à votre service? A vous entendre parler comme vous le faite, j'ai vraiment un doute, est ce une pratique des hommes de dieu?
Mais revenons à ma personne, bonne chrétienne, élevée dans un couvant j'ai reçu une bonne éducation, se qui veut dire que je respecte les autres, que je ne juge pas, que je pardonne. Mes convictions monsieur sont que je me présenterai pure devant le curé qui célébrera mes noces, mais hélas avec la rumeur que vous venez de lancer et qui demain aura fait le tour de Paris déjà, je crois que mes chances de trouver un mari sont fortement compromise.

Un pauvre soupir s'échappe des lèvres de la brune.

Vous avez monsieur une façon bien particulière pour un homme d'église de prendre soin de vos brebis, puisse le très haut vous pardonner.

Réouverture de l'éventail avant de rajouté.

Comme nous sommes toujours sali par plus sale que soi, monsieur je vous pardonne.

Et Morganne de faire demi tour, de rejoindre le petit fauteuil entre la comtesse et le duc, l'éventail est rendu.

Nous en étions ou?

Enchanté Comtesse de Blenac Mais je ne vois aucun curé nous sommes tout les deux Cardinal je suis le plus vieux Cardinal je gravit ma 70e année et même si je ne l'ai jamais vu à Rome vu son vêtement il est Cardinal

il regarda le nouvel arrivant et le salua

Demat je suis Sa Grâce Romuald de Penthièvre Duc du Duché-Pairie de Châteauvilain et Pair de France enchanté