[ rp promenade dans le jardin]

Fantine qui était parti pour laver sa belle robe déchirée et ensanglanté ne revint pas avant une bonne heure elle s'était égaré dans un coin du jardin elle se dit donc :
- ce jardin est immense et ses sources de vie la troublèrent si bien qu'elle en oublia ses précieuses amies, Camille au teint pâle pour pallier les lignes le, son ami d'enfance. Et bien sûr la taquine Louison qui s'en arrêt la scrutait du regard.
Elle tente alors de s'asseoir à l'ombrage d'un arbre fruitier mais, elle mis a jour sa maladresse et en loupa sa cible. Elle se décide alors de s'allonger dans les herbes fraîchement arrosées et de se laisser bercer par le chant des oiseaux et par la souplesse du vent.
Quant celle -ci se réveille il y a au loin une ambiance festive elle cligna ses yeux si clair qu'on en croirais le firmament, elle se décida alors d'aller rejoindre les dames qui avait fait connaissance avec de jeunes hommes^^

Elle le voit pâlir puis sombrer dans l'inconscience... elle pose les yeux sur sa jambe et découvre une auréole sanguinolente qui perce le tissus...

Se servant de la fiole de vinaigre qui ne la quitte pas, elle en met sur les doigts et lui en tapote légèrement les tempes, puis lui fait respirer le flacon...
Remède imparable pur faire revenir les sens...

Les yeux papillonnent un moment, puis il revient à lui, elle lui fait un sourire encourageant...

Ne vous inquiétez pas François je vais m'occuper de vous...

A ce moment elle voit Fantine rejoindre le groupe de jeunes femmes...

S'il vous plait aidez moi... nous allons le relever et l'aider à regagner ses appartements...

Reprenant peu à peu ses esprits....la tête tournant encore,le sang fouettant les tempes.

Aidez moi à me relever,apparemment vous êtes seule à vous en soucier....[i]serrant les dents,respirant fortement par le nez.[/i]
la blessure est ouverte mais surtout car des morceaux de fer sont encore à l'intérieur...[i]Tendant son bras ,et s'appuyant au sol de l'autre...

Haletant,transpirant à grosses gouttes,François d'Harcourt parvint à se relever avec l'aide de Camille...

Camille n'est pas faiblarde, les années passées en province au milieu des bois à grimper aux arbres comme une sauvageonne, ses cavalcades en fougueuse étreinte avec son alezan, ont forgé un corps harmonieux mais aussi souple et musclé...

Elle aide le jeune homme, lourd comme un âne mort^^ dans son inertie souffrante...
Enfin remis sur pied, elle le soutient par le bras, lui s'appuyant dangereusement contre son épaule...

*Haïe! Ne pas vaciller surtout, ça ferait un beau mesclun de pattes en l'air!*

Quêtant un regard de ses espiègles amies, elle renouvelle son appel...

Louison!
Fantine!
Melina !
J'ai besoin d'aide pour ramener François chez lui... Il faudrait peut-être quérir un médecin aussi!

Citation :

Hum ... point du tout, tout va bien ma chère ne vous inquiétez point ... je pensais en mon fort intérieur que notre jeu venait de tomber tout comme notre cher Marquis d'Esnes

C'est de ma faute, j' aurai du choisir quelqu'un d'infrangible et non de guingois.Mais si tu savais y voir, je pense qu'il se passe un rapprochement enstre le Marquis et nostre chére Camille.

Elle sourit, puis lança un regard vers Fantine qui revenait aprés s'estre éclipsée un temps..

Citation :

Rhhhooo et bien ma vilaine ... tu m'avais caché que des loups arpentaient ces magnifiques jardins à la recherche de belles demoiselles à croquer ...

Que veux tu ma chére nous sommes environnées par moults prédateurs en tout genre...

Elle entendit de nouveau le Marquis se laissait aller à ses jérémiades pour séduire Camille.

"Et vas y que je me plainds...Quelle belle image montre t'il!"

Citation :

S'il vous plait aidez moi... nous allons le relever et l'aider à regagner ses appartements...

Mais bien sûre que nous allons vous aider, nous n' allons point le laisser agoniser ici, que penseraient certaines personnes de nous, voyons!

Elle remarqua une brouette dans l' allée, alla d'un pas mou la quérir puis revint vers le Marquis.

Si vostre Magnificence veut bien se donner la peine, que nous puissions le conduire en ses appartements.


Elle ne put s' empécher de le regarder avec une légére grimace, le trouvant trop ampoulé...

Pouvez vous nous dire en quel lieu vous conduire vostre Magnifience?

Elle fit un regard d'entente vers Camille.

n]]Le Marquis se tint à l'épaule,et fit des yeux noirs.[/i]

Non,merci que de votre aide...si cela consiste en se gausser de ma blessure...Il est évident que vous preniez de moindres risques en ronds de jambes à la Cour....S'adressant à la Comtesse et son amie,sourires aux lèvres.

Redonnez moi ma canne,je vous prie Camille ,que je quitte ces jardins venimeux...

Le marquis se maintint tant bien que mal avec l'aide de la Vicomtesse,la vanité ayant repris le dessus sur la douleur...pour le moment.

Enfin, voilà la Trémière qui rapplique... mais que fait-elle?
Camille réprime une envie de rire malgré la situation pénible dans laquelle elle se trouve avec le marquis...

La Trémière qui se pointe avec une brouette! Image épique!
Et bientôt le marquis comme un ballot de paille... dans le même rafiot...

Camille que son jeune âge prédispose à rire de tout se contient à peine... exprime son soulagement d'avoir enfin "civière" à disposition...

*Mais qu'est-ce donc cette odeur... Pouah!*

Est-ce du fumier que la brouette versait tantôt dans quelques royales plate bande?
Est-ce sur un lit de bouse que les jeunes femmes veulent assoir la noble personne?

Mais le marquis ne l'entend pas de cette oreille... Un sursaut d'énergie, il demande sa canne...
Camille autour d'elle la cherche des yeux...

La voilà François... Vous êtes sûr que ça ira?

S'efforçant de tenir l'équilibre l'accompagne en sa demeure...

Citation :

Non,merci que de votre aide...si cela consiste en se gausser de ma blessure...Il est évident que vous preniez de moindres risques en ronds de jambes à la Cour....

Se fait, si fait! vous savez que c'est tout un art de faire des ronds de jambes et cela cause bien des souçis aux articulations.

Elle soutint le regard noir du Marquis qui s' estait senti piqué au vif.

Citation :

............je quitte ces jardins venimeux...

Nostre Marquis serait il douillet? je n'oserai répéter au Roy l'image que vous donnez à ses jardins....Lui qui les aime tant et fait en sorte que c'est le plus bel endroit de france, il serait charmé de cela.

Sourire espiégle sur le visage, elle se tourne sur Camille.

Remettez le nous sur ses jambes, il serait dommage de nous en priver ..

Elle rejoignit Mélina et Fantine en haussant les épaules.

Mes dames, nostre chasseur repart avec sa proie et nous laisse ainsi.Il est temps de s'éloigner des jardins, le soleil commence à décliner et j' ai grand faim.

Par cette belle soirée, le jeune Duc voulut se promener dans ces jardins si magnifiques, qu'il avait aperçut tantôt, et bien sur il avait prit comme résolution de les visiter aussi c'est ce qu'il fit.
Il marcha là un moment, tantôt regardant des fleurs, tantôt admirant la vue que l'on avait sur tout les jardins de l'endroit ou il se trouver et c'est avec une certaine émotion qu'il regarda tout cela.

Gabriel s'assit sur un banc placé dans les jardins et respira a pleins poumon l'odeur délicieuse qui se dégagé des fleurs et plantes en tout genre.
Il apercevait quelques personnes auquel il répondit par politesse,sa principale occupation étant de profiter le plus possible de ses beau jardin, avant de devoir malheureusement retourner en ville pour se trouver une chambre, le temps qu'il obtienne un hotel particulier...

Par cette belle soirée, la jeune Marquise,qui avait vu au loin les jardins si magnifiques,voulait s y promener et elle prit la resolution de les visiter ce qu elle fit.
Elle marcha là un moment, tantôt regardant des fleurs, tantôt admirant la vue que l'on avait sur tout les jardins de l'endroit ou elle se trouvait et c'est avec une certaine émotion qu'elle vit regarda tout cela.

Soudain elle apperçu Monsieur De Nerval assis sur un banc


"Oh Monsieur De Nerval vous ici je m attendais point a vous rencontrer,comment vous portez vous ?

elle lui sourit ayant oublier leur facheuse discution aux grilles

Gabriel était la depuis un moment, peut-être une heure ou deux lorsqu'il vit arriver la charmante Marquise et en un instant, son sourire lui fit oublier la froideur dont elle avait fait preuve a son égard au grilles.

Oh Je ne pensais pas vous trouver ici moi non plus vous savez, et j'éprouve une grande joie de vous voir ici, mais je vous en prit asseyez vous donc près de moi sur se banc, il est confortable.

Le jeune Duc lui fit un grand sourire et prit sa main pour déposer un léger baiser dessus, puis la regarda dans les yeux sans lacher sa main et augmenta l'intensité de son regard pour elle, et murmura qu'elle était belle.

Citation :

Dites moi Monsieur De Nerval vous avez homis de nous preciser votre titre lorsque vous vous etes presenter a la Vicomtesse et moi même

Gabriel se méfia,, la marquise était-elle seulement intéressée par son titre?
Ou bien simple curiosité?
Le jeune Duc ne sut pas dire aussi il respira calmement et en souriant se représenta une fois de plus..

Et bien oui cela est fort possible, mais en quoi est-ce important?
Bref je vais donc vous le dire vu que vous y tenez tant, je suis Gabriel de Nerval, Duc de Nevers pour vous servir...

Gabriel lui sourit et se redressa, se mettant bien sur le banc, admirant la vue sur les jardins et se mit a rire doucement...

Ne trouvez vous point cela étrange toute cette beauté réunie en un seul lieu?
Pour ma part je trouve cela tout a fait fascinant..

Citation :

Et bien oui cela est fort possible, mais en quoi est-ce important?
Bref je vais donc vous le dire vu que vous y tenez tant, je suis Gabriel de Nerval, Duc de Nevers pour vous servir...

La Marquise De St Heran fit une petite reverance de circonstance

"Oh Votre Grace veuillez m excuser je ne savez point"


la jeune femme regarda le Duc,plus discretement cette fois ci,mais ses yeux la troublaient litteralement, d june voix tres douce elle repondit :


En effet Votre Grace je suis admirative en voyant tout cette beauté autour et devant nous tout ceci est incroyablement admirable et serein

Citation :

En effet Votre Grace je suis admirative en voyant tout cette beauté autour et devant nous tout ceci est incroyablement admirable et serein

Gabriel n'aimait pas les révérences envers lui mais bon, il n'allait pas contredire la Marquise, aussi il sourit poliment, puis reflechit pour lui donner une réponse approprié..

Hum et bien je pense que je suis tout a fait d'accord avec vous, ce lieu a le dont de vous apaiser, je ne sais pas pour vous mais moi il me remplit de bien-être, mais peut-être est-ce vous qui me faites cet effet...

Le jeune Duc approcha doucement son visage de la jeune Marquise et murmura a son oreille de tendre petits mots.
Puis se recula a peine pour la regarder longuement dans les yeux, l'air charmeur et doux.

Citation :

Hum et bien je pense que je suis tout a fait d'accord avec vous, ce lieu a le dont de vous apaiser, je ne sais pas pour vous mais moi il me remplit de bien-être, mais peut-être est-ce vous qui me faites cet effet...

Renaissance De Montmorin,se mit a rougir légérement,elle prit son eventail dont la feuille en soie est peinte et rebrodée de paillettes dorées,la monture en os gravé est peinte de motifs floraux et incrustée de petites pierres precieuses et s eventa legerement en lui murmurant


Je ne sais Votre Grace,si cela est a cause de ce cadre romantique ou votre charme indéniable mais je partage votre sensation


Elle vit le visage altier du Duc s approcher d elle et se pencher a son oreille afin de lui murmurer des mots doux,elle rougit bien plus....ne sachant comment reagir, de plus l humidité de la soirée etant tombée elle commençait a avoir froid,elle se mit a frissonner

De voir la jeune Marquise s'eventer ainsi, donna l'idée a Gabriel qu'elle ne savait plus ou se mettre et il l'écouta attentivement parler, peut-être apprendrait-il des choses sur elle ou bien sur son compagnon, si compagnon il y a.

Puis le jeune Duc la vit frissonner et ôtant sa veste blanche, avec de fines lanières d'or sur les contours, il lui mis sur elle, pour lui tenir chaud, lui même ne craignant pas le froid.
Puis la regardant dans les yeux, il s'appreta a lui donner un baiser lorsqu'il entendit une voix de femme...

Aïe !!!

Intrigué, il s'excusa auprès de la Marquise pour aller vers la source du Aie, et découvrit une dame, sautillant a cloche pied,les pieds nus.
Gabriel s'approcha donc de la dame, et lui offrit son bras comme appuis, et prit la parole avec une voix douce.

Je vois que vous sautez ainsi, puis-je vous aidez a quelque chose? peut-être voir ce que vous avez, si vous me laissez faire évidement.

Le jeune Duc la regarda, et essaya de trouver une bonne position pour la jeune femme qui semblait un peu perdue.

Renaissance s approcha a son tour et vit le Duc se pencher d un peu trop prés a son gout vers une autre femme



"Bonsoir peut on vous aidez Madame,pardon je me presente Renaissance De Montmorin Marquise De St Heran avez vous quelque douleur souffrez de quelque mal faut il querir un medecin"

Humm et bien je vois que la farce a réussie, puisque vous vous êtes aparement cognée le pied, mais farce vraiment point drôle, je ne vois pas ce que cela a d'amusant de voler des souliers, vraiment vers ou court le monde...

Il finit par l'assoir sur l'herbe, prit son pied délicat et fragile dans ses mains et commença un doux massage, voulant d'abord la détendre le plus possible, l'oeil attentif a la blessure, qui ne sembler point grave, mais surement que le coup sur le moment la lancer...

Humm oh et bien ravis de vous connaître Madame la Baronne, il est vrai que d'autres circonstances auraient été meilleure mais non ne contrôlons pas cela n'est-pas?
Je me présente, Gabriel de Nerval, Duc de Nevers.

Gabriel la masser encore lorsque la Marquise arriva, alors le jeune Duc lui adressa un beau sourire, et rit doucement lorsqu'elle parla.

Ce qu'il lui faut c'est du repos et la pouvoir la transporter chez elle, ou bien a un endroit plus confortables.

Merci Madame la Marquise, mais je crois que ce monsieur à la situation bien en mains mais, si vous pouviez madame avoir l'amabilité de chercher mes souliers, ils se sont comme envolés
Etes-vous médecin monsieur ?

Et bien j'ai eu une formation par mes précepteurs, je peux donc vous administrer les premiers soins, mais pour le reste il vous faudra voir un médicastre confirmé.
Il serait fâcheux que cela s'aggrave ne croyez vous pas?

Le jeune Duc sourit puis continua de lui masser le pied délicatement, regardant par moments si il ne voyait pas les souliers de la Baronne, puis observa son visage, qui semblait un peu crispé par la douleur, et lorsque Gabriel plissa les yeux, il crut voir du rouges sur les joues de la jeune femme.

Alors comme ca vous vous étiez endormie ici?
Ce n'est pas sérieux, il vous faut un garde du corps au moins, ou bien quelqu'un pour vous accompagner dans votre sieste.