Hotel particulier,bien de la Famille d'Harcourt-Marquisat D'Esne

Dans la petite chambre de courtoisie,Camille endormie...

Arrivant à pas de loup ,ouvrant la porte en évitant de la faire grincer et se mettant en tête de la faire lubrifier par son "bon à rien" de Mari;Clémence entre dans la chambre.
La Gouvernante voit la Vicomtesse de Comblisy allongée sur le ventre en travers du lit à baldaquin,les rideaux à peine tirés.Elle est nue ,et Clémence sent en elle un curieux sentiment l'ayant déjà effleuré plus tôt.Un mélange de désir et de panique;de s'approcher et de fuir en même temps.

Elle s'approche et s'assoit un instant sur le fauteuil à ses côtés,elle contemple la splendeur de la nudité de la femme .Une envie de la toucher ,de partager un moment de douceur avec elle...

Un coup d'oeil vers la porte,pas de bruits ...Clémence se lève et approche ses mains tremblante de s'adonner au désir.

Elle fait un songe...

Elle s'est baignée nue, dans la rivière, les remous sableux l'ont massée de fraicheur, puis elle s'est allongée sur la tiédeur d'un rocher, léchée par les rayons caressant du soleil...

Sa peau ruisselante oscille entre fraicheur et douce chaleur...

Elle frémit... Instant de plénitude...
Ouvre à demi les yeux... sent l'odeur de lavande du draps frais, le contact du jeté de lit... Elle se souvient... Chez François...

Pourtant les caresses continuent... le soleil... François..?

Se laisse effleurer sourire aux lèvres sans se retourner...

Continuant les caresses en souriant doucement,sentant le réveil de Camille venir...

Clémence massa le dos avec douceur,puis descendit les mains sur les fesses,les dessinant doucement à fleur des ses phalanges.Prise d'une chaleur vive lui donnant un léger tournis,la Gouvernante s'assoit sur le lit aux cotés de la Vicomtesse de Comblisy.Elle déboutonna son décolleté,sous une bouffée de chaleur,se penchant pour embrasser le creux des reins de la belle Camille.

Attentive, aux mains qui la parcourent, Camille se laisse caresser… Quelle douceur dans le geste… Une nouvelle facette de son amant ? Ses narines frémissent à la recherche de son odeur… Une étrange effluve d’églantine lui parvient… humm elle croit reconnaître ce parfum…
Quand les mains effleurent son fessier, un léger frisson la parcourt, elle sourit… le coquin a des idées…
Elle se cambre un peu sous le contact des lèvres qui se posent sur ses reins… se retourne enfin…
Regarde surprise Clémence qui se relève gênée et confuse…

Clémence… mais…

Lui sourit enfin…

Vos mains sont d’une douceur exquise ma belle… auriez-vous quelques huiles pour continuer votre massage si discrètement entrepris…

Camille la regarde amusée… détaillant le visage frais et potelé de la jeune femme, les rondeurs de sa poitrine généreuse débordant de son corsage échancré… Ce n’est pas sa Thomassine certes, mais ses mains sont d’un toucher fort agréable…

Clémence rougissante regarde Camille dans les yeux,toutes assises si proche...

La Vicomtesse de Comblisy regarde ses formes opulentes,elle le sait,pose une main dessous,palpe un peu.

des huiles ?oui,nous en avons ...à coté du baquet pour le bain.

Clémence se penche en avant,pour descendre du lit,un sein lourd sort du corsage peu serré,tombe sur la cuisse nue de Camille

ooooohhhhhhhh

la main de la Vicomtesse lui prend,elle pose la sienne sur la cuisse pour se redresser...

Oh! Clémence que voilà un joli téton...

Caresse doucement la tendre chair nacrée... Que voila de jolis appâts que tu dissimules sous ton corsage...

Pose son autre main sur celle de Clémence appuyée sa cuisses nue...

Des mains de fée... Une peau douce comme la tienne... Ton mari ne doit pas s'ennuyer...

Se redresse un peu approchant son visage du corsage odorant...

Ton eau de toilette m'enivre sais tu... vas vite chercher les huiles... et vient me masser... mmm

La gouvernante se laissa tâter un peu;attardant sa main sur la cuisse...

Puis la brave et sensuelle Clémence se releva bien en face de la Vicomtesse de Comblisy qui plongea son regard en la vallée profonde et aux monts abondants.Elle partit d'un pas léger vers la salle ou avait lieu les ablutions du dimanche,la ou trônait un grand baquet en cuivre rempli d'eau chaude par ses soins avant chaque bain du Marquis d'Esne.

Camille se prélassa sur le lit à baldaquins,puis tira les rideaux pour s'assurer d'une légère intimité si important dans l'esprit des femmes.
La gourvernante revint avec une petite fiole vermillon et un chandelier aux trois bougies allumées,de quoi donner une atmosphère propice à une relaxation agréable...

]Elle laissa Camille lui ouvrir les rideaux,pendant qu'elle déposait le chandelier sur une remontée de lit,hors d'atteinte...

Camille souriant d’aise se retourne offrant son dos, la cambrure de ses reins, le fuselé de ses jambes aux mains de la domestique…
Clémence commence par appliquer l’huile parfumée sur la peau de soie, et d’une main caressante l’étale lentement…

Met toi à l’aise Clémence murmure Camille…. Il fait chaud sous se rideaux…


La belle ne se le fait pas dire deux fois... ôte son corsage débordant laissant échapper son opulente poitrine… Puis d’un même geste, le léger jupon de coton…

Camille se pousse un peu sur la couche permettant à Clémence de prendre place.
Fermant les yeux à demi la tête sur ses avant-bras, Camille se laisse aller à la douceur du massage…

Les mains douces et habiles la parcourent de délicieux frissons… La peau roule sous les doigts de Clémence, Camille gémit doucement… La domestique enjambe alors Camille remontant sur la colonne, caressant les épaules, frôlant la nuque d’un baiser… Ses lourds seins de nacres accompagnant le massage de discrètes caresses sensuelles…

Camille ferme les yeux tout à fait… se dit que sa Thomassine à de la concurrence… Ses lèvres dessinant un soupir d’extase…

Les mains de Clémence se font frolantes et caressantes...elle soupire lentement contenant avec peine son excitation...

Camille gémit alors qu'elle dépose un baiser dans le creu de son cou,une mmain passant par dessous le ventre de la Vicomtesse.Frottant doucement sa toison contre le derrière tendre et rebondie.
La gouvernante inspire lentement alors qu'elle sent une main caresser l'arrière de sa cuisse.

ohhhh...vous m'affolez Madame...

dépossant sa lourde poitrine contre le dos de Camille,rasant de ses tétons durcit la douce peau en soufflant son bien être dans le creu de l'oreille de la Vicomtesse.

je peine...à résister à ...l'envie de vos mains sur moi

Clémence se laisse rouler sur le côté,haletante et soumise...

Un peu surprise mais curieuse, Camille se redresse et regarde Clémence dans les yeux…

Tu cherches de la douceur, ma belle…

Lui caresse doucement la joue, effleure son menton…
Son corps superbe domine la délurée…

Camille pose une main sur la cuisse d’albâtre, parcourant doucement la jambe jusqu’à la cheville, dessine le contour du pied pour remonter sur l’intérieur…
Puis la main se pose sur le ventre remontant sur un sein quelle enveloppe de sa paume…
Se penche sur le visage impatient… ses seins effleurant les siens… murmure… les lèvres sur la tempe de la jeune femme…

Besoin de caresses jolie Clémence ? Dominique serait-il mauvais amant ?

Leurs corps de velours,enflammés de passion dévorantes se frôlent en un concert de soupirs d'aise...

La main de Clémence rejoint celle de la vicomtesse sur sa cuisse,elle gémit à peine perceptiblement.

votre main éveille un désir enfoui au fond de moi...

Leurs poitrine s'entrechoquent,la gouvernante se penche pour embrasser un téton tendu vers sa bouche brulante de tentation.

mon mari....ne sait pas...me contenter...en mon appétit de sensualité particulière...

Un petit rire cristallin aussi court que léger.

Dominique n'est pas mauvais amant....mais sa rudesse ne saurait contenter...certaines de mes envies...

Clémence prit une petite clémentine en sa main douce,pour la porter à sa bouche ...

Camille sourit malicieuse, laissant les lèvres pulpeuse, éveiller ses sens….

Le corps de la femme est un trésor que bien peu d’hommes savent savourer pleinement… pourtant leur rudesse saurait vite nous manquer aussi jolie Clémence…

La jeune femme frôle de ses lèvres le visage de la domestique dessinant l’arête du nez, descend sur sa joue pour finir sur le lobe de l’oreille qu’elle saisit délicatement …

Sa main se fait exploratrice sur les courbes de Clémence, délicieux parcours de monts et plaines, jardins secrets et tendres vals…

Un frémissement,ravissement léger et sensuel que ces caresses sur sa peau...

Clémence sentit une douce chaleur monter en elle,le désir ardent de l'aimer sans retenue.Frémissante sous les douces mains la parcourant,elle
plonge sa tête soupesant un sein de nacre en sa paume pour le porter à ses lèvres.Elles se font caressantes au ras du bout durcissant telle une
fleur de Tournesol en plein mois de Juillet.La langue dessinant les merveilles de la forme du fruit à sa portée,un léger mordillement à la queue
de la petite orange gorgée d'un soleil de désir...

Les hommes m'aiment oui,de façons et de qualités différentes....mais le désir éveillé en moi ne saurait être tari qu'en la source d'une rencontre de nos corps

Une main descendant la peau frémissante,un concert de soupirs ,elle dessine le pourtour d'un nombril délicieux...se fait sillonante pour arriver
en une forêt de mystères,soyeuse et luxuriante...

Camille est sensuelle Clémence tout autant…

Les deux jeunes femmes entament une longue mélopée de tendresse, de dons mutuels de douceurs enveloppantes…

Le soleil matinal filtré par les voiles du baldaquin, couve leurs tendres émois…

Les minutes s’égrènent le temps n’a plus court pour elles parties visiter d’autres lieux, un monde de délicatesses sucrées, de suaves voluptés…

Enivrées de plaisir et rassasiées enfin elles s’endorment enlacées dans la plénitude des corps apaisés…

(quelques jours plus tard,alors que la Vicomtesse est repartie...)

Ce matin là,le Marquis d'Esne attend la venue du Joailler qu'il a fait mandé dans sa lettre ...

IL trépigne,piaffe d'impatience dans son bureau de travail faisant,refaisant ses courriers sans inspiration.La tête n'est
pas à ses intrigues,ni à ses obligation en ce jour pour lui,spécial.François d'Harcourt se lève repoussant avec véhémence
la chaise manquant elle,de tomber malgré son lourd poids dû aux capitonnages.Il entre-ouvre les rideaux et regard par l'allée
du Domaine,rien !Ou si peu,Dominique passant avec des planches,sans doute pour réparer le pan de toiture abimé par la chute
d'un arbre lors de l'orage du dernier dimanche.
Le Marquis d'Esne voit passer sa gouvernante Clémence avec des étoffes sous le bras,il se rappele lui avoir demandé de changer
les rideaux de la chambre occupée par la Vicomtesse de Comblisy lors de ses venues.La brave et pétillante femme ayant tous les
talents,que ce soit de couture ou ce cuisine,des Arts ou simplement de la douceur de la présence.

Mais rien!Rien ce matin,pas une carrosse venant,alors que ledit Maitre Joailler se devait de venir ce jour,en provenance de la Ville
de Rome,via diverses étapes où des amis du marquis seraient à même de l'héberger pour ne pas lui faire risquer les malandrins
sachant la préciosité de son matériel et surtout de ses productions.

François d'Harcourt revint dépité à son bureau,un rictus amer aux lèvres,la patience n'étant plus parmi ses vertus...

Son carrosse s’arrête dans la cour dans un grincement d’essieux épouvantable…
Camille sautant du marchepied serrant frileusement une étole de fourrure sur ses épaules, lance un regard de reproché à son cocher…

Jean il serait temps de graisser les roues… je vois que tu préfères passer ton temps en cuisine avec Maria ou dans des recoins avec ma Thomassine, mais je te paie pour entretenir le matériel…
J’espère ne pas avoir à te le redire…

Sur ces mots un peu sec, peu en accord avec la personnalité de la douce Camille… son caractère s’affirmant depuis quelques temps… La jeune femme court plutôt qu’elle ne marche vers la lourde porte du château… Manie le heurtoir avec vigueur…

Trois coups résonnent à la porte d'entrée de la demeure...

Le Brave Dominique en bon maitre d'Hotel zélé accourre à la provenance du bruit,la porte d'entrée.Un coup
d'oeil envers celle qui depuis ^peu à rejoint la maison en provenance du chateau des Harcourt,oui elle est entrée en cuisine en discrétion...Clémence partie quelques temps se reposer en cure thermale aux frais du Marquis ,le voilà donnant libre cours à ses envies avec une jeunette gracieuse et charnelle comme il les aime.

Le Maitre d'hôtel ouvre la porte dans son air sérieux usuel pour ouvrir de grands yeux étonnés suivis d'un sourire en reconnaissant la visiteuse.

Juste ciel !Madame la Vicomtesse !.....se ressaisit,se rappelant encore la dernière fois qu'il avait vu la belle Camille.
Entrez donc....Un sourire plus enclin de sympathie que de dévotion en usage dans son métier.

Et le voilà qui montre deux à deux les hautes marches de l'escalier de marbre s'enquérrir de son maitre,le Marquis d'Esne qui sortait à l'instant de ses appartemments en longue robe de chambre beige brodée de motifs
dorés,une sorte de houpelande bleu pale pour homme autour du cou.

Ma chère Camille....dit François d'Harcourt d'une voix de stentor resonnant depuis le haut du hall d'entrée.

Vous faites courir ce brave Dominique...Il rit un instant
Il aime à se souvenir de vous....montez donc prendre le thé!

François d'Harcourt sorti sa clochette d'or de sa poche pour la faire tinter de manière à signaler le service du Thé...

Elle s’attendait à voir Clémence… Bref retour en arrière en apercevant le visage de Dominique… Une légère fièvre qui balaye ses joues heureusement rosies par la fraîcheur matinale…

Bonjour Dominique annonce moi au marquis… sourire mutin…
Ah ! Mais le voilà !

Lève les yeux sur son amant en tenue d’intérieur… sourit à son allusion coquine… alors que Camille peut apprécier de dos l’exquise souplesse féline du domestique…

Montant elle-même les marches d’escalier d’un pas plus mesuré… ne manque pas de frôler Dominique laissant dans son sillage le parfum de sa féminine engeance…

Deux bras enveloppants se lovent autour du cou de François…
Lui susurre dans un sourire…

Vous me manquiez mon cher… J’ai une paire d’heures avant le lever de la reine… Quel est votre programme aujourd’hui ?

Le Marquis d'Esne,tout à sa faiblesse pour sa douce maitresse,régnant sur ses nuits...

ma chère amie....je vous désire sur l'instant...

l'enlaçant avec emphase,unissant ses lèvres aux siennes dans un baiser brulant.

Mon programmes serait de .....vous aimer intensément pendant le peu de temps,que vous aurez à m'accorder.

Incline la tête pour parcourir le cou,mordillant le lobe un instant ,lui soupirant au creux de l'oreille.

Je n'ai pas une aussi grande importance que sa majesté...mais je saurais vous faire honneur....

Le maitre d' Hôtel revint de la cuisine avec un plateau argenté ou prônait un seau à Champagne avec des coupes givrées.

Elle enfouie son visage dans le cou de François, frémissante comme une jeune pouliche.

Je suis votre Marquis… Vous le savez… et dussé-je abandonner la cours pour vous suivre au fin fond des Amériques, votre présence m’est indispensable… Bien au-delà de tout…

Lui prenant la main, elle la pose sur son sein gauche…

Sentez la délicieuse énergie que vous insufflez en moi…

Ses lèvres remontant sur sa gorge, effleurent son menton pour venir se poser pétale de rose sur les siennes… Son autre main posée sur sa nuque caresse du pouce la racine de cheveux, imprimant un doux massage à la naissance de l’épaule…

Je vous désire aussi, et votre robe de chambre est une pauvre barrière à mes instincts matinaux…

Se rapproche de lui épousant son corps sans pudeur sachant pourtant derrière elle le regard complice de Dominique revenu avec un plateau…

Montrant l'embrasement de ses sens sous les mots de sa maitresse ,dans un baiser sulfureux .

Il la plaqua contre la porte de sa chambre,frôlant une cuisse en la remontant de sa paume,râlant son excitation au creux de son oreille.
....il est temps de ....prendre la collation du matin...

Sous la main de François d'Harcourt la porte s'entre-ouvrit,les deux amants enlacés tel du lierre grimpant et parfumé.Ils se retrouvèrent
ainsi allongés sur le jeté de lit de couleur Pourpre ,les baisers du Marquis descendant l'arrête de son cou précédé d'un mordillement du lobe de son oreille de nacre.

Le Maitre d'Hôtel tout à son service déposa le plateau sur la desserte roulante de la chambre,un oeil parcourant parfois l'évolution de l'étreinte.
Il déboucha stoïquement la bouteille de Champagne Rosé dans un bruit sourd ensuivit d'un bruit de gaz,ce qui n'interrompit en rien le déshabilage précipités des deux amants,l'un torse nu et l'autre en jarretière et autres dessous raffinés.
Trois coupes de Champagne furent servies,Dominique s'installa dans le fauteuil capitonné de l'angle ,regardant le Marquis en pleine dégustation
de la peau de la Vicomtesse qui lui adressa un regard emprunt de désir...

La réaction de François ainsi qu’elle l’attendait ne se fait pas attendre…
Quel fougueux amant que cet homme…

Camille, pas en reste de désir se laisse guider dans le boudoir contigu au salon…
La mince protection de la tenue d’intérieur du marquis s’envole d’un mouvement, alors qu’il s’affaire sur sa robe, tout aussi habilement délassée…

Au milieu de baisers sans équivoque de soupirs empreints de désir, le bruit d’un bouchon qui libère la liquide pétillant… Dominique est là qui les observe…
Camille l’œil luisant regarde le domestique attitré prendre place…
La jeune femme aux prises avec son amant en est sourdement excitée…
Déplaçant une jambe à son intention lui en dévoile le galbe parfait…

François aime les jeux se dit-elle… Sinon que ferait ici Dominique ?
Qu’à cela ne tienne la vicomtesse les aime aussi… L’œil rivé sur le visage impassible du domestique, elle fait glisser ses ongles de nacre sur le dos de François… butine son cou, susurre à son oreille…

Je vois que tu as prévu du renfort…

Rit doucement...

Je partagerais bien une coupe en petite tenue… qu’en dis-tu ?

Un sourire entre amusement et volonté de charmer,encore et toujours son insatiable maitresse...

Je vois que tu as prévu du renfort…

Un petit rire,puis un mordillement de l'épaule en suivi d'un souffle brulant dans son cou

Disons plutôt ...de quoi stimuler nos appétits...

La main du Marquis d' Esne remonte la cuisse,une arabesque dessinée de deux doigts autour de son nombril.

Je partagerais bien une coupe en petite tenue… qu’en dis-tu ?

François d' Harcourt,bascula ses jambes pour se retrouver sur le bord du lit,une main rasant la dentelle soulignant sa poitrine.

Oui...je vois que mon cher Dominique brille encore,par .......son initiative.

Il se relève,torse nu et en caleçon noir et moulant ,une main saisissant la coupe que lui tend le dévoué maitre d' Hôtel...

Camille libérée de l’emprise fougueuse de son amant s’assoit sur le bord du lit dévoilant le galbe parfait de ses longues jambe qu’elle croise d’un geste étudié, entre pudeur et séduction appliquée…
Se redresse, le corset de soie soulignant étroitement sa taille fine fleurie du nacré de ses seins débordant le feston de dentelle…

Souriante elle porte à ses lèvres gourmandes la coupe de fines bulles glacée, les narines frémissantes aux effluves fruités de l’ambre clair…
Ses yeux se relèvent après une gorgée de plaisir, vont doucement du domestique à son amant… Puis de François à Dominique…
Sourit… Murmure à l’intention de François…

Dominique semble être un dévoué serviteur, mon ami, et j’apprécie ton souci d’enchanter nos moments…

Ses yeux se reposent sur Dominique impassible toujours… Seules ses prunelles sombres reflètent l’éclat d’une curieuse attente…

J’apprécie votre zèle Dominique… Le champagne est à point…

Lève sa coupe…

Mais rapprochez votre fauteuil et trinquons ensembles puisque trois coupes il y a…

L'homme répondait au nom de Dominique,ayant fonction toutes cumulées de Maitre d'Hôtel homme à tou faire et secrétaire particulier du Marquis d'Esne François d' Harcourt.Le visage impassible où seules ses deux yeux Noirs reflétaient une lueur entre désir et aggressivité,Dominique se leva dans un sourire en coin des lèvres pour porter toast;rester assis ne lui étant que de faible coutume.

Sa chemise en flanelle blanhce de taille raffinée,sculpatait son torse et ses épaules musclées par tant de travaux de forces et autres au service de la famille d'Harcourt depuis toujours.Un pantalon noir de coupe droite ,laissait apprécier une taille fine et puissante et un fessier galbé et sans doute bien ferme.Seule fantaisie de sa part et peu en rapport avec sa condition,une chevalière en Or qui rutilait à chaque de ses rares et lents mouvements,comme si il avait tout le temps du monde.

Dominique lève sa coupe,ses yeux détaillant avec une envie demoins en moins dissimulée les formes avantageuses de la Vicomtesse.

Santé.mes Seigneurs,je suis votre toujours humble serviteur.Ses yeux noirs semblèrent transpercer les opalines coucereuses de Camille.

en toutes choses.