La salle d'Audience

Le coude est offert, il se réveille enfin le blondinet, elle pose ses doigts fins et ils entrent, c'est qu'il joue le jeux maintenant, droit comme un i un sourire sur ses lèvres, encore un peu elle éclate de rire Morganne. Pour éviter se désastre elle regarde la pièce, le trône les sièges contre les murs le tout dans un ton criard, un peu agressif pour les yeux enfin les siens. Joshua l'entraine vers un groupe formé, deux jolies jeunes femmes, deux messieurs au bonne manière, légère impression qu'il me jette dans la fosse aux lions. Sourire plaquer sur mon visage, alors qu'il se perd dans des baises mains, pourquoi elle n'y jamais droit elle hein? Elle n'a droit qu'a Morganne et encore quand il prend la peine de la saluer. Soit elle règlera cela un jour, mais ce n'est n'y le lieu, n'y le moment pour une bagarre en bonne et due forme. Inclinaison de la tête vers le groupe, alors que la jolie blonde se présente.

Bien le bonjour, Morganne de Chantraine, comtesse de Blenac, ravie de vous rencontrer.
Enchantée Vicomtesse.

Ravie de les rencontrer oui, ravie d'etre ici beaucoup moins, le soleil passant par les hautes fenêtres réchauffent la pièce que ca en deviendrait étouffant pour Morganne. Déjà elle regrette de ne pouvoir plutôt visiter les jardins ou il serait bon de se promener.

Nicolas ne s'était pas fixé au petit cercle qui s'était formé, il vit la jeune marquise l'air un peu perdu, il est vrai que qu'être à Versailles en compagnie de noble, on peut s'y perdre, il lui sourit. Elle s'approcha de lui, et lui parla.
Excusez moi... vous êtes le Compte Nicolas ?
Marquise de Mongneville, heureuse d'être en votre compagnie ainsi que la Vicomtesse Camille.
Oui, bien sûr que je le suis, je m'appelle Nicolas, comte de Muret pour vous servir. Je suis enchanté de faire votre connaissance si exquise. Il fit une légère inclination en guise de salut.

Il vit qu'elle ne lui portait plus aucune attention, et que son regard se fixait vers le marquis, enfin le cousin du roi...Nicolas avait t-il perdu tout son charme avec les jeunes femmes? Enfin, cela ferait un heureux, c'est certain, il fit mine de se rendre pas triste.

Cette charmante femme était apparemment une amie d'enfance de la vicomtesse Camille, une surprise ou il en doutait pas, ne serait pas la dernière. Puis, la vicomtesse répondit à l'invitation que le comte avait proposé pour s'excuser de la grossière erreur qu'il avait à son égard. Il écouta avec attention et lui répondit.

Madame, il est pour moi un honneur de diner avec vous même si votre éducation est provinciale, il me plait de me rendre à ce diner !

Il vit un couple s'approcher, une jeune femme ainsi qu'un jeune blondinet, à les voir, il avaient l'air d'être très complice. Le marquis les salut,il le salua donc en retour d'un signe de la tête. Ne voyant le marquis de Provence saluait la jeune arrivante, il lui fit un baise main des plus raffiné en s'inclinant légèrement en prenant la main délicate de la jeune femme.

Madame la vicomtesse, monsieur le marquis, me voici, Nicolas de Batz, comte de Muret.

Après avoir fait cela, la vicomtesse de Comblisy lui demanda s'aller chercher un verre d'eau, ce qu'il fit, vu la chaleur pesante qu'il y avait dans le salon.
Après l'avoir remplit, il lui tendit en espèrant qu'elle soit heureuse.

Voilà, le verre d'eau, mademoiselle.

Devant la fameuse porte


Elle était la ! comme sa mère l' avait voulu .. dieu qu'elle aurait aimé être ailleurs ! Mais avait-elle eu le choix ?
Secouant la tête afin de chasser ses idées de fuite , elle se redressa doucement et un doigt passer dans le petit anneau de la robe faisant relever sa légère traîne de par le coté , elle avança dans la pièce de sa démarche dansante et naturelle.

Plusieurs personnes étaient déjà arrivées , des femmes de grande beauté et des hommes comme rarement elle avait vu !

Ne sachant trop quoi faire voyant que déjà les gens semblaient se connaître , la panique au ventre et recula d'un pas sentant sous son escarpin un pied qu'elle écrase legerement !!!

Oh.. je je..


(hrp le pied peut être a n 'importe qui ^^ )

Déambulation dans les couloirs sans fin... Remarquez, ce n'est pas si désagréable que cela, finalement. Des tapisseries potables, des tableaux de maîtres, des dorures à en ch*er et plein plein de valets. Les valets c'est bien pratique ! Remarquez, c'est le but. Laver, astiquer, préparer, essuyer, chouchouter les nobles. C'est, en gros, la vie d'un domestique. VIVE LA NOBLESSE !

Arrivée en face de LA salle. Mais c'est qu'ils en font du bruit les nobles quand ils se rencontrent... On les entend dans le couloir ! Eh bah ça a l'air d'être gai là dedans...

Le Comte de Lussan ouvrit la porte. Mais pas trop. Coup d'oeil rapide sur les personnes présentes, puis fermage de porte (et néologisme). Guillaume de glissa furtivement vers un coin de la pièce, plus particulièrement vers un domestique à priori quelconque. Le Comte se présenta rapidement et lui demanda de présenter rapidement les personnes présentes. Du moins, celles que le valet connaissait.

- Avec honneur, Monsieur le Comte. Mais je ne les connais pas tous Monsieur le Comte. Il désigna Nicolas de Batz. Cet homme est le Comte de Muret. Un homme à priori très respectable. Le valet pointa du doigt un autre noble, cette fois très bien habillé. Lui, André Charles de la Chaize-Daix , Marquis de Provence et Cousin de Sa Majesté le Roy. Ensuite, voici Mademoiselle Morganne de Chantraine, Comtesse de Blenac. Elle est accompagnée de Monsieur le Marquis de Mautevrier, Joshua Andreault de Langeron. Le valet s'arrêta et réfléchit un court instant. Et ce sont les seules personnes que je reconnaisse, Monsieur le Comte. Je suis navré...

- Rassurez-vous, c'est assez. Merci bien.

Le Comte de Lussan se déplace, toujours en longeant les murs de manière à se faire discret. Il observait les manières de chacun, il écoutait attentivement les discussions...

Après avoir visité la nouvelle résidence de son Cousin Louis XV, passant par l'immense galerie des glaces et par le Salon de la guerre, deux endroits, où Louis-François voulait absolument visiter puisque d'excellentes rumeurs circulaient dans tout le royaume. Rapidement, il fut comblé selon ce qu'il espérait tout au long de son voyage entre Nemours et Versailles. Assez heureux, Louis-François gagnait très rapidement le prodigieux salon d'Apollon, là où était le trône de sa majesté.

Assez discret pour une fois, Louis-François était guidé par un valet qui lui avait été mis à disposition tout au long de son séjour pour le guider dans le palais de Versailles. Le jeune Nemours n'était pas parmi la cour du roi afin faire jolie, bien au contraire, il voulait voir son cousin pour lui présenter sa sœur et demander l'autorisation de pouvoir bâtir sur les terres de Nemours, mais respectueux comme il est pratiquement tout les jours, il attendait impatiemment l'arrivée du Roi et avait la bouche cousus, voyant et faisant un clin d'œil et s'adressant à la marquise de Monglat, qui était en compagnie d'un Comte.

Bonjour mon amie, je suis heureux de vous voir parmi nous. Quand est-ce que vous venez me voir à Nemours ?

Il gagna très vite son siège qui lui avait était réservé aux côté du Roi ainsi qu'au côtés de l'autre cousin et Pair de sa Majesté afin d'éviter de troubler les autres personnes qui étaient présentes .

Bonjour.

Faisant acte d'une légère révérence, il salua le reste de l'assemblée nobiliaire qui ce trouvait dans la salle avant de poser son derrière sur le siège qui était sans dossier, ce qu'il détesta par ailleurs.

*Mooooooon dieu....*

Et pour en arriver à penser ces deux mots, faut vraiiiiiment que le niveau de la conversation vole bas. Parce qu'en entre lui et le truc qui est sensé être là haut, c'est vraiment pas le grand amour. Enfin, pour être précis, c'est l'indifférence. Tu t'occupes de tes affaires, je m'occupe des miennes, et les ouailles seront bien... Oh et puis, pourquoi parler de ce genre de choses. Bref, ils parlent dîné, verre d'eau. S'il pouvait, il soupirerait de consternation, puis ensuite baillerait d'ennui, et enfin, il trouverait un moyen d'emmerder Morganne. Au moins, ça lui ferait de l'occupation. Mais comme le Roi peut entrer d'une minute à l'autre... Du coup il orchestre son départ. Et pour cela, il profite qu'on entre, tourne la tête, et fait mine d'avoir reconnu quelqu'un. Il se tourne vers les autres, et dit :

" ...si vous me permettez... "

Et qu'ils permettent ou non, c'est pareil. Lui, il prend la poudre d'escampette. Le temps de se pencher sur Morganne pour lui dire deux mots, et l'enquiquiner un peu. Des mots dans le genre : "Dis-moi que c'est vraiment aussi ennuyeux que cela en a l'air. " Loin des yeux, loin de la bouche. Il n'aura plus à souffrir des niaiserie paondesque (qui imite le paon) des mâles qui cherchent femelles. Il pince affectueusement et discrètement les fesses de Morganne et file. J'avais dit qu'il l'enquiquinerait ! Direction, un endroit où il peut poser ses fesses, et attendre loin du babillage futile si typique à la cour. Du coup, le voilà assis, en train de faire le point sur les points qu'il a appris, et comment les mettre en pratique de manière efficace.

bonjour

Je voudrais parlé à Louis-Nemour car j'ai une question à lui posé

Je voudrais vous demandé Louis-François Nemour la main de votre très-cher et belle soeur sa main car Hélas ! je suis tombé sur son charme alors a vous de me donné une reponse

Louis-François était assit paisiblement sur son siège, d'ailleurs, pour une fois que le mobilier royal était confortable. Tout sage, écoutant les conversations qui régnait dans le salon, il attendait patiemment l'arrivée du roi, lorsqu'un jeune messire vient à s'approcher de lui. Malheureusement, Louis-François ne peu s'empêcher de repousser le jeune homme.

Houlà... sa sent pas très bon ici... bon pas grave !.

Essayant par tout les moyens de sentir son halène, ce n'était vraiment pas lui.

Pardonnez moi, mais... A qui ai-je l'honneur de voir sur mon champs de vision ?

Marquant un temps d'arrêt, Louis-François jeta un regard sur les grandes portes d'entrée de la salle d'Audience.

Ah vous voulez donc prendre la main de ma soeur.... quels sont vos titres ? vos Fonction ? votre Nom ?

Se sentant poignardé du regard

Beh quoi... tout çà est important pour moi ! que serait ma sœur sans une bonne position sociale ?

Excuser moi je pense déja m'avoir présenter à vous en tout cas je suis Henri d'haufort Vicomte de Polignac et futur Secrétaire d'Etat à la marine et des colonie.

Le regarda

Main sur le menton, Louis-François écouta attentivement le jeune homme qui ce trouvait debout face à lui.

Ah... ah d'accord, oui je m'en souviens à présent. Donc c'est vous lui... l'homme qui est Vicomte de... oui de... rhooo allez redites le moi, s'il vous plait ! !

Affichant un léger sourire avec ses yeux doux sur son visage, Louis-François reprit.

Rhoo, allez Monseigneur, asseyez vous près de moi en attendant l'arrivée de Sa Majesté le Roi de France et de Navarre, Louis XV.

Louis François prit une bague en or qui se trouvait dans l'une de ses poche et la mit sur l'un de ces dix doigts.

Elle est belle ? avouez le... j'avoue qu'elle ma coûté chers... Bref, racontez moi un peu votre histoire, je vous pris.

Regardant dans les blancs des yeux le vicomte, Louis-François l'écoutait pour de bon au lieu de s'ennuyer... bien sur, il était obligé puisqu'il avait du temps pendant l'attente du Roi, son cousin...

La première fois que votre soeur à franchit la porte de la Taverne je suis tombé amoureux d'elle puis je Lui est parlé et je lui est en fin demandé à m'épouser.Et alors nous avons voulu mettre en place tout cela donc nous sommes ensembles alors donc j'ai voulu vous demander sa main et aussi je le ferais mais moi je suis très amoureux d'elle je ne serais ni infidèle en vers elle et vous et je suis très attentionné vis à vis à elle alors j'attend votre reponse et merci pour votre bague en parlant de cela je lui est acheté une bague je vous la montre.

Henri sourit en ce rappelant d'elle

Il n'en peut plus. L'impression qu'on lui touille le fond des oreilles avec une petite cuillère. Entendre les deux nobliauts en train de discuter lui vrille les tympans. Il ne rêve que d'une chose, couper la langue voir s'il y a une similitude entre les deux. On ne sait jamais, la bêtise du langage se trouve peut-être dans la langue. Il commence par Henri.

" Vicomte d'Hautfort, j'espère pour vous ne torturez pas les mots à l'écrit autant que vous torturez la langue française. Par pitié, taisez-vous ! Même un fermier ne voudrait pas de vous pour gendre. Et vous vous prétendez future Secrétaire d'Etat... Quand à vous... "

Il se tourne vers le Duc, tout en sachent pertinemment qu'il a un rang de noblesse de plus que lui. Il sait qui c'est. Et après hum... Pour se taire, faudrait qu'il se morde la lèvre, et comme il ne veut pas se faire mal le petit Joshua.

" Duc, ayez au moins l'intelligence de rabaisser les gens avec maîtrise. Ne laissez plus de telles opportunités de répartie à un Marquis en plein ennuie. Vous pourriez, vous et votre chevalière, en être ternis, et ce, devant tout le beau monde. Admirez votre exquis minois dans une glace, cela vous occupera... "

De m'avoir présenté. Ces mots l'ont traumatisé... Enfin un peu d'action, la journée s'annonce mieux, même si ses oreilles le font terriblement souffrir.

Monsieur Joshua pour des raison je ne parle pas très bien français et puis je parle a monsieur Nemour

à voila je l'ai elle était bien caché dans mon manteau

[i] Henri prit la bague dans son manteau et montra à Louis-François



est-elle belle ?

Louis-François pouffa de rire quand à l'intervention du jeune ou plutôt vieux marquis. Très vite, il reprit son sérieux et reprit son discour avec celui ci.

Euh... c'est à moi dont vous parlez ? et beh.. vous manquez pas d'air.

Marquant un arrêt, le jeune duc reprit.

Mettez vous à la politique mon cher au lieu de me faire la morale !! je suis sur que vous serez plus utile pour notre monarchie...

Faisant signe de main, Louis François demanda au marquis de Mautevrier de déguerpir très vite, voulant discuter avec l'inculte de la série.

Bon quand à vous, je ne vais perdre plus de temps, allez courtiser ma sœur mais à vos risques et périls !

Interpellant le marquis.

Hey vous, revenez donc là... vous savez que je vous adore ? mais un conseil... sortez plus vos dents, j'ai envie de profiter de leurs blancheurs ! *ironie*

Henri se mit a étouffer de rire

Pourquoi dites vous cela à monsieur le marquis il ma dit à moi dit une bêtise pareille mais bon laissez le il critique les personnes

cela ne va pas vous emmener au loin de faire des critique j'en ai fait une plus jeune vous savez ce qui met arriver il on bien faillit me faire couper la tête.je ne préfère pas en parler

Henri se rappela de ce que qui c'était passer dans son enfance

Monsieur le marquis étiez vous dans la politique ? en ce moment vous être quoi ?

se met à rire du marquis

Et en plus il s'enfonce dans la bêtise... Bien, puisqu'il n'a pas voulu suivre ses conseils, faudra pas se plaindre de recevoir la grêle sur le coin du museau. Laissant libre court à son imagination, et à sa verve, il laisse tomber une petite averse sur le jeune nobliot qui a osé utiliser son prénom. C'est parti, que le spectacle commence.

" Ouvrez grand ce qui vous sert d'oreilles, et essayez, si l'effort ne décime pas les derniers restes de votre brillantissime esprit d'homme, de retenir la leçon. Pour vous, je suis Monsieur le Marquis. Gardez vos familiarité pour vous, monsieur le Vicomte. Si vous avez gardé les cochons dans votre triste vie, ce fut sans moi, que cela vous le soit dit. Donc, par conclusion, nous n'avons pas gardé les cochons ensemble. Vous saisissez ? Donc. Ne songez même pas à tenter, ou ne serait-ce qu'effleurer la pensée, quant bien même en rêve, de pouvoir me nommer en d'autres termes que les suivant : Monsieur le Marquis. Mon prénom est réservé à certaines personnes et vous n'en faites pas parti. Maintenant, je vous conseille de ne rien ajouter. Etant certain que vous n'êtes pas un mauvais diable, séparons nous ainsi en des termes pas encore catastrophiques. La porte est par là, je vous laisse trouver la sortie. Et j'espère vous revoir très bientôt. Dernier conseil, ne prenez pas de cours de langue avec le Duc, il est aussi pitoyable dans son usage que vous..."

Quant aux remarques du Duc, il lui répond. N'ayant évidement pas bougé. Menace de guerre pas voilé du tout.

" Vous avez du confondre ma personne avec un de vos gens. Faites attention monsieur le Duc, les dents sont faites pour mordre. Se serait dommage que votre bêtise soit la cause d'une vilaine marque causée par un Marquis. "

Louis-François regarda la petite scène qui ce passait sous ses yeux avec plaisir, heureusement que le roi n'est point encore présent. Si il aurait vu tout çà, il est sur et certain, qu'il aurait voulut dégrader tout ceux qui étaient en cause de cette situation, alors très vite il reprit son calme, ce levant, il n'oublia pas de hausser les épaules devant cette situation.

J'aurais trop peur de vous les abimer, MONSIEUR le Marquis ! donc écoutez mes conseils, il sont bien plus humble que tout vos idées réunis. Si, si, qu'on ce le disent !

Ne pouvait s'en empêcher de rire, le jeune Pair posa ses mains sur les épaule du vieux marquis qui avaient pour symbole d'amitié les plus profonde envers lui.

Je sens que nous allons nous amuser et surtout bien nous entendre. J'en suis sur !

Le regardant, bouche cousus, il reprit après quelques grands moments de silence.

Enfin... peut-être !

Retournant auprès de son siège, regardant le Vicomte et le Marquis, presque tout deux monté l'un sur l'autre, Louis-François se voulait à tout prix spectateur d'un spectacle de combat.

Henri se mit à rire

Monsieur le Marquis comme vous dites je n'est jamais eu de Triste vie comme vous dites mais néanmoins je voulait vous dire que vous être irrespectueux envers moi et entre noble il y a un certains respect alors vous venez ici et en plus vous intervenez dans une discussion et vous venez après me dire que je garde les cochons j'espère pour vous que vous ne parlez pas comme cela au Roi car si c'est comme sa aller directe à la guillotine monsieur et en plus dites vous que je suis un diable laissez moi vous dire peut être vous être plus vieux que moi mais en tout cas respectez moi et donc je vous respecte alors trêve de bêtise et encore excuser moi de vous avoir appelez par votre nom merci.

boit sa tasse de thé

Le Valet l'ayant menée en ce salon, qui portait bien son nom, car prestigieux était ce lieu, Angélique-Rose s'était avancée, saluant les Nobles étant déjà là.

Bonjour à tous!

Un sourire à leur attention, puis prit place sur un des fauteuils posés le long des murs de la salle d'audience, silencieusement

bonjour Angélique rose je me présente je suis Henri d'Haufort Vicomte de polignac

Henrit lui sourit